Le roman érotique Fifty Shades of Grey a cartonné auprès des 35-45 ans. Ce qui nous vaut l’apparition du terme mummy porn.
Le bouquin de E.L. James est vite devenu un phénomène de société et a définitivement assuré les vieux jours de son auteure. On vous avait déjà parlé de la version porno de Fifty Shades of Grey - avec l’exquise Allie Haze - et de la récupération pop culturelle de l’œuvre (via cet hilarant sketch du Saturday Night Live). Le tout en attendant son adaptation hollywoodienne, pour laquelle on murmure les noms de Bret Easton Ellis (immortel géniteur d’American Psycho) au scénario et James Deen devant la caméra. Les deux s’étaient rencontrés sur le projet The Canyons, réalisé par le grand Paul Schrader.
Fifty Shades of Grey a rendu accessible à sa façon l’érotisme et l’imaginaire BDSM à la ménagère lambda, dans la trentaine/quarantaine. Sous le vernis de la sophistication, E.L. James a joué le rôle de passeuse, en offrant à ces dames un univers expurgé de son aura sulfureuse. En rendant le tout moins sale, plus acceptable, elle a en quelque sorte engendré un nouveau genre, du moins si l’on en croit les médias. Le mummy porn (ou porno pour les mères de famille) flatte la coquinerie de nos daronnes et devrait ouvrir une brèche commerciale des plus juteuses.
Vous rêviez de combler les attentes de vos génitrices avec des présents Hot Vidéo approved. C’est le moment ! D’autant plus que l’ouragan Fifty Shades a provoqué une hausse des ventes de sextoys…
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