Eva Karera vient de tourner pour les productions anglaises « Bluebird » de Paul Chaplin.
London’s calling
Ceux qui pensent encore que le Royaume-Uni est le no man’s land du porno devront revoir leur jugement. La hardeuse belge Eva Karera a ainsi rejoint le plateau de la dernière production de « Bluebird », la maison de production du Britannique Paul Chaplin. C’est pour elle l’occasion de se frotter directement au marché anglo-saxon qu’elle n’a jamais pénétré, et de mettre ainsi en branle une possible carrière américaine.
En effet, Chaplin est un nabab du X, possédant des studios en Grande-Bretagne, mais aussi aux Etats-Unis. Bien qu’elle n’ait jamais tourné pour lui, Eva Karera a dû faire son effet sur le milliardaire qui a même donné de sa personne dans le film. En deux jours, elle a enchaîné quatre scènes avec les gloires locales : les hardeurs Jody et Keni, la pulpeuse Nikki Blond ou encore la Roumaine Steliana dans un morceau de bravoure saphique. Un essai concluant qui demande de nouveaux développements, peut-être outre-Atlantique.
Par Nicolas Nykvist
Paru le 15 juillet 2008