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Mourir en érection fait monter la cagnotte

Mourir en érection fait monter la cagnotte


En 2009, William Martinez mourait d’un arrêt cardiaque alors qu’il s’activait dans une partie à trois. Quelques années plus tard, sa famille empoche trois millions de dollars en dédommagement d’une erreur de diagnostic.



Y a-t-il une façon rêvée de mourir ? On trouve les partisans d’une mort foudroyante et sans bavure. Ceux qui préfèrent se faire faucher tout en douceur dans leur lit douillet. Et enfin il y a quelques papis qui donneraient tout pour claquer avec une minette sur le bout de la queue. Alors imaginez le veinard qui casse sa pipe en cumulant les trois.

Bingo

C’est sur un Américain de 31 ans que la chance s’est abattue, en 2009. William Martinez avait forcé un peu le destin en organisant une partie à trois avec l’un de ses potes et une fille qui leur plaisait à tous les deux, alors qu’une semaine auparavant il se rendait chez le médecin à cause de fortes douleurs à la poitrine. C’est de cette pression que viendra la déchéance de notre homme car à trop vouloir en faire au pieu son cœur lâcha.

Le hic dans cette histoire est que, lors de la consultation, le toubib avait omis d’avertir Martinez de ne prendre part à aucune activité physique. Sautant sur cette erreur de diagnostic, la femme du défunt ayant vite pardonné à son mari ses tromperies, tenta de gagner un peu d’argent. Pour apaiser son malheur, elle pointa du doigt la responsabilité du docteur. Bingo ! Trois ans plus tard et après avoir réduit la responsabilité du défunt coquin à 40 %, un tribunal de Géorgie a fixé à trois millions de dollars la somme de dédommagements à la famille. Les petites coupures sont de bons mouchoirs.