RILEY REID À L’ÉCOLE DES BIFLES

A l’école, c’était la fille qui ne vous regardait pas. Et vous, vous la regardiez tout le temps. Envie de la baiser puis de la baffer par dépit. Tel un bouc émissaire, Riley Reid prend désormais des gifles par des bites

Hot Video : Comment as-tu atterri dans le X ?
A la base, je n’étais pas très chaude à l’idée de me faire sauter devant une caméra, c’est pour ça que j’ai commencé dans la série In the Vip de Reality Kings, qui reconstitue un délire entre copines en boite de nuit. Dans la foulée, j’ai bossé pour Bang Bros sous un autre pseudo, Paige Riley. De fil en aiguille, j’ai fait toutes les productions qui font dans l’internet sur la Floride, mais quand j’ai voulu travailler à Los Angeles, je n’avais pas les connections. Finalement, j’ai rencontré un hardeur qui m’a branché avec Type 9 Model et j’ai changé mon nom pour celui actuel, le précédent était pris. Jusqu’à maintenant, j’ai fait à peu près 80 scènes.

T’as l’air toute gentille, innocente, mais en vérité, tu as la beauté du diable…
Depuis que je me suis fait déflorer dans un cinéma, je pense tout le temps au cul. J’aime avoir un mec dans chaque bras. J’aime imaginer ceux qui me regardent pendant que je finis un mec à la main. Peu importe qui me regarde, je suis exhibitionniste, j’aime exciter.

Jules Jordan t’a consacré son UltimateFuckToy : Riley Reid. Avoue, tu ne t’es plus senti pisser ?
J’en suis fière ouais, d’autant que c’est rare d’avoir un film entièrement consacré à soi, aussi vite dans une carrière. J’ai mis le meilleur de moi-même et je crois que c’est le meilleur film que j’ai fait. J’ai montré toutes les facettes de ma sexualité. Quand je repense à certains trucs, je commence d’ailleurs à mouiller…

Tu devais être la garce du lycée, bien dans les clichés des films d’ados, non ?
J’ai toujours été celle qui fayottait avec les profs. J’ai fait des bonnes études et j’ai toujours été classée parmi les meilleurs. Tout le monde s’attendait à ce que j’aille à l’université, que je fasse partie des Peace Corps (NDLR : une o.n.g américaine) et que je devienne prof ou un truc du genre. Le fait que je fasse du porno s’est répandu comme une trainée de poudre au lycée et dans le fond, ça m’a aidé à vite assumer. C’est marrant, la dernière fois dans une soirée du lycée, on est venu plusieurs fois me ressortir ce que j’ai dit face à la caméra de Brazzers, à savoir que je n’en avais rien à foutre qu’on voit mon cul. Ils matent tous mes scènes, les pervers !

Dans le fond, tu cours après quoi dans le porno ? Le fric ? La reconnaissance ? Et me dis pas le sexe…
J’aimerais bien épargner pour ouvrir un resto végétarien, ici, à Miami. Le porno m’a aidé à me prendre en charge et à me responsabiliser. J’en apprends sur moi et je garde l’esprit grand ouvert pour ne rien rater. Et puis, je ne vole pas encore de mes propres ailes, j’habite encore chez mes parents. Ils me soutiennent dans ce que je fais. Plus ou moins…

Riley Reid
20 ans
1m 64
51 kg
Habite à Miami
Aime : son clebs, le café, la clope, le rock indé, les clubs de Miami, mater National Geographic, Pulp Fiction et les films de Tarantino en général.

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Par Dimitri Largo pour Hotvideo.fr