Deux ans de taule lui ont fait changer d’optique sur la vie
L’homme a gardé le stetson, mais n’est plus le même. Après deux années de prison et six mois de conditionnelle, le réalisateur désormais libre, Max Hardcore, est sorti de son mutisme pour annoncer son retrait de la production porno. Condamné pour avoir diffusé des bandes-annonces des versions européennes de ses films sur son site américain (avec uro, vomi, fist, pratiques criminalisées outre-Atlantique), il reste propriétaire d’un catalogue de près de 200 films, mais souhaite passer la main.
Les sports extrêmes, sa nouvelle marotte
« J’aimerais explorer le potentiel offert par le marché des sports extrêmes, comme celui des courses de bagnoles. Il y aura de plus en plus de chaînes spécialisées et je suis convaincu qu’elles pourraient être intéressées par du contenu audiovisuel » explique-t-il. Peut-être que j’engagerai quelqu’un pour me succéder. Mes films ne disparaîtront jamais et la marque “Max Hardcore” est déposée. Une multitude de produits dérivés peuvent se créer sous cette bannière : une ligne de fringues, Max Hardwear ou d’outils, Max Hardware… ». Encore un peu et il serait capable de pondre une gamme d’objets de puériculture.
Max Hardcore
Max Hardcore et Layla Rivera