Avant de triompher aux AVN Awards, le film du studio Private avait déjà été couronné de succès aux Hot d’Or. Un peu comme Moire Candy chez les réalisateurs.
Chaque remise de prix est unique. Il y a toujours des différences de points de vue, des influences singulières qui confèrent une ligne directrice à chaque cérémonie. Parfois, celles-ci se rejoignent et confèrent ainsi aux succès des bénéficiaires de ce rapprochement une aura d’autant plus importante.
La bonne fortune de Billionaire
On savait déjà que le gros succès remporté par le film Billionaire aux derniers Hot d’Or l’avait aidé à s’exporter outre-Atlantique. « Nous sommes toujours enchantés d’offrir à notre public le meilleur de Private et Billionaire en fait indéniablement partie avec ses quatre récompenses aux Hot d’Or », expliquait en novembre dernier Richard Arnold, le boss de Pure Play Media, le distrbuteur américain du long métrage. Un succès confirmé aux USA depuis car, après avoir été élu Meilleur Film européen à Paris, le film d’Alessandro del Mar s’est adjugé le titre de Meilleur Film étranger à Las Vegas.
Pour un peu, le cinéaste italien aurait également pu viser la passe de deux pour le trophée du Meilleur Réalisateur étranger. Mais il a été devancé aux AVN Awards par Moire Candy… dont le film Ritual chez Marc Dorcel avait aussi été récompensé aux Hot d’Or. Mais là, c’était en tant que Meilleur Film français. En somme, il n’y a pas de trop de deux cérémonies pour récompenser tout ce talent.